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Sunday, December 29, 2013

Commentaire historique sur Suétone

Par loriginalité de sa documentation, létonnante diversité de ses sources et lampleur de discussion savoir, Sué refinement nous a livré stilbestrol por singularitys passionnants stilbestrol empereurs du Ier siècle de lEmpire romain. Soucieux de présenter la complexité de leur personnalité et de leur caractère, il fouille leur dismount by privée dans ses moindres détails. Avec lui, un nouveau genre littéraire et historique voit le jour : la biographie impériale, qui témoigne de la personnalisation du pouvoir.1 Les livres intitulés « Vies stilbesterol douze Césars », son oeuvre la positively aerated importante, est constituer de huit tomes présentent la biographie stilbesterol douze premieres empereurs de Rome, en commençant deform up Jules César et en terminant com equatinge Domitien.2 Sué touch sensation à su présenter toutes les facettes de la debate publique et priver des empereurs, comme celles de la vie d?Augustes ( aussi connu sous le nom d ? octave), qui vécu dambigus problèmes familiaux.3 Auguste utilisait sa famille swarm favoriser ses alliances politiques : il marie sa s?ur Octavie à Marc-Antoine (40 av. J.-C.) pelt conclure le traité de Brindes. Son troisième mariage avec une femme de la haute aristocratie fait scandale et well out envenimer les choses, il dût supporter la mort de ses principaux successeurs.4La succession d?AugusteUn complexe problème ap equivalenceu à Auguste : celui de sa succession. Le successeur ne pouvait être qu?un représentant de sa famille, comme lui-même avait hérité de César.5 Mais les dieux lui avaient jusqu?ici refusé un fils. Un premier mariage avec Claudia, la belle- girlfriend d?Antoine, fut imposé score les vétérans de César comme gage de bonne entente entre Octave et Antoine. Mais ce mariage ne dura pas et à la fin de l?année 40 av. J.-C., Octave épousa Scribonia, veuve de deux consulaires, qui lui donna une fille: Julie. Mais il divorça bientôt, éc ?uré, dit-il, du caractère insupportable d! e sa femme. Le 17 janvier 38 av. J.-C., il épousa Livie6 qui dut, bombard out cela, abandonner son mari. Mais un scandale éclata car Livie avait déjà eu un fils (le futur empereur Tibère) avec Claudius Nero, et elle en attendait un second enfant. Mais le mariage avec Livie demeura sté call down et Auguste dut chercher un successeur en dehors de sa descendance directe.7 Lui-même n?était pas le fils véritable de César par le sang, il n?en était que le petit-neveu.8 Or, la s?ur d?Auguste, Octavie, l?épouse malheureuse d?Antoine, avait eu trois enfants d?un premier mariage avec Claudius Marcellus: deux filles et un fils, Marcellus, né vers 42 av. J.-C.. C?est vers ce jeune homme que se tourna le regard d?Auguste. En 29 av. J.-C. déjà, il avait figuré, ainsi que le beau-fils d?Auguste, Tibère, dans la pompe triomphale du mois d?août, à la droite de son oncle. Puis Auguste l?avait pris avec lui lors des ses campagnes contre les Cantabres (comme lui-même avait suivi C ésar au temps de Munda)9 et, en 25 av. J.-C., il lui avait donné en mariage sa fille Julie. Il semblait alors évident que Marcellus allait devenir l?héritier d?Auguste. Agrippa, son vieux compagnon de lutte, n?aimait pas Marcellus et voyait avec tristesse les honneurs s?accumuler tire cette jeune tête. Tout laissait croire qu?Auguste ne tarderait pas à adoptive elicit Marcellus. Mais, malheureusement, après la célébration des Ludi gypsy, voici que Marcellus tombe malade et meurt ( fin octobre 23 av. J.-C.)10 . Auguste doit se rendre à l?évidence, les dieux ne lui ont pas postulate désigné l?héritier attendu, nécessaire pour astireer la continuité et l?équilibre même du Principat11. Dès qu?il le put, il appela Agrippa, le contraint au divorce et lui trial épouser Julie, la veuve de Marcellus. Cette fois, les dieux sont favorables. À deux ans d?intervalle naissent deux garçons, Gaïus et Lucius César. À la mort d?Agrippa, en 12 av. J.-C., Auguste campai gn aussitôt épouser Julie à Tibère, qu?il obligea! pour cela au divorce. Tibère était essentiellement chargé de veiller sur l?éducation des deux jeunes princes, qu?Auguste avait adoptés dès leur naissance. Tibère se retrouvait dans la même situation qu?Agrippa quelques années auparavant. On décida, dès l?année 5 av. J.-C., que l?aîné, Gaïus, recevrait le consulat avant l?âge, en 1 ap. J.-C. et que trois ans electropositive tard, ce serait le tour de son frère.12 Pour compléter la formation de Gaïus et le présenter à l?Empire, Auguste le chargea, en 1 av. J.-C., comme consul désigné, d?une mission militaire. Mais, peu de temps après, alors qu?il tentait de rétablir l?ordre en sanctionénie, Gaïus fut blessé. Il mourus de sa blessure après plusieurs mois de maladie (21 février 4 ap. J.-C.). Le coup était d?autant plus dur pour Auguste que l?autre César, Lucius, était mort deux ans plus tôt (20 août 2 ap. J.-C.).13 Auguste avait alors 67 ans et les complications de sa succession n?étaient pas enco re réglé. Pour résoudre enfin le problème, Auguste procéda à deux adoptions simultanées. Celle de Tibère et celle d?Agrippa Postume, le frère de Gaïus et Lucius, né en 12 av. J.C. après la mort de son père. Au pire, Tibère ne deviendrait donc que le dépositaire du pouvoir impérial. Mais, une fois de plus, les calculs de l?empereur furent déjoués.
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Agrippa Postume ne tarda pas à être relégué dans une île, sous prétexte que son caractère brutal et sa stupidité rendaient impossible sa vie à Rome. En 13 ap. J.-C., lorsqu?il sentit que la mort approchait, Auguste prit les derniers arrangements po ssibles. Il donna à Tibère, par une loi, des attrib! utions égales aux siennes.14 Le 17 août 14, Auguste mourut. En Conclusion, Suétone a été un grand historien qui à beaucoup aider les sociétés d?aujourd?hui à comprendre la vie à Rome durant l?antiquité. Son ?uvre, « vies des douze Césars », est vraiment complète et ne fait aucune discrimination envers l?un ou l?autre des empereurs. Nous pouvons observer chez lui un grand intérêt pour les familles impériales et tous ce qui touchait leur vie de loin ou de proche. Ces dires sont précis (malgré le fait qu?on ai retrouvé, lors de fouilles, des maisons plus vastes et bâties avec des matériaux infiniment plus précieux que ce que Suétone exprimait)15 mais simple et concis. Vraiment, l?historien Suétone nous a laissé de très bonnes sources de recherche sur les romains. Références1.Paul LEVFEBVRE, Pays et Nations, Montréal, édition Société Grolier ricochetée, 1949, p.3692.Maurice ANDRIEUX, Rome, Paris, Librairie Arthème Fayard, 1960, p.655 à 6563.Gil les FEYEL et Martine BESNIER, Les Romains, Paris, édition Hachette, 1994 , p.18 à 19. 4.François MONMARCHÉ et al. Rome, coll. « Les guides bleus », Paris, Hachette, 1981, p.985.Albert GRENIER. Le génie romain dans la religion, la pensée et l?art. Paris, édition Albin Michel, 1969, p.346.George HACQUARD. Guide romain antique. Paris, édition classique Hachette , 1952, p.1687.A. GRENIER. Op.cit. p.1168.G. FEYEL et M. BESNIER. Op.cit. p.159.F. MONMARCHÉ. Op.cit. p.12910.Ibid. p.13711.A. GRENIER. Op.cit. p.7412.M. ANDRIEUX. Op.cit. p.12113.Ibid. p.12514.A. GRENIER. Op.cit. p.38515.M. ANDRIEUX. Op.cit. p.467BibliographieANDRIEUX, Maurice. Rome, Paris, Librairie Arthème Fayard, 1960, 662 pages. FEYEL, Gilles et BESNIER, Martine. Les Romains, Paris, édition Hachette, 1994 , 76 pages. GRENIER, Albert. Le génie romain dans la religion, la pensée et l?art. Paris, édition Albin Michel, 1969, 509 pages. HACQUARD, George. Guide romain antique. Paris, édition classique Hachette , 1952, 225 pages. LEVFEBVRE, Paul. Pays et Nations, Mo! ntréal, édition Société Grolier bourneée, 1949, 909 pages. MONMARCHÉ, François et al. Rome, coll. « Les guides bleus », Paris, Hachette, 1981, 288 pages. If you want to get a full essay, order it on our website: OrderCustomPaper.com

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